CITATIONS MORT - PROVERBES MORT - DICTONS MORT

La mort est quelquefois un châtiment ; souvent c'est un don ; mais pour plus d'un, c'est une grâce.

On a divers sujets de mépriser la vie, mais on n’a jamais raison de mépriser la mort.

Alors il y aura un rire immense de désespoir quand les hommes verront ce vide, quand il faudra quitter la vie pour la mort, pour la mort qui mange, qui a faim toujours.

A petit feu ou à grand feu ; qu’importe le genre de mort, du moment que l’on meurt.

Et le choix que chacun fait de sa vie et de lui-même était authentique puisqu'il se faisait en présence de la mort.

La guerre, c'est quand on attend la mort du dehors ; la paix, c'est quand on l'attend du dedans.

Une guerre ne fait pas cent mille morts, mais cent mille fois une mort.

De l'enfer il ne sort - Que l'éternelle soif de l'impossible mort.

La première nuit après la mort, forcement on dort très mal.

Quand on voit la vie telle que Dieu l'a faite, il n'y a qu'à le remercier d'avoir fait la mort.

Vous faites bien d'amasser de l'argent pendant votre vie : on ne sait ce qui arrivera après la mort.

Vivre est une maladie, dont le sommeil nous soulage toutes les seize heures ; c'est un palliatif : la mort est le remède.

Cette urgence intérieure, comme une fleur, un festin. Cette chose qui me prend et qui rampe comme un serpent. Ce n’est pas la mort ; mais mourir résoudra son pouvoir. Un stylo désespéré m’échappe de la main. C’est dans une chambre minable qu’ils me découvriront, sans jamais savoir mon nom, ni mon propos, ni la valeur de mon évasion.

Chaque instant de la vie est un pas vers la mort.

Quand on a tout perdu, quand on a plus d'espoir, la vie est un opprobre et la mort un devoir.

Les âmes des morts restent là où ils ont vécu. Lorsqu'il n'y a pas de bruit, pas de vent, on entend les esprits.

Au moment où un Homme prend la décision finale et irréversible de se tuer...c'est qu'il est déjà mort.

Celui qui n'est pas prêt a affronter la mort au terme de sa vie, ne sera pas en paix quand tombera la nuit.

Dieu est mort, et le monde en dormant n'a fait que changer de côté.

Face à une si grande folie [la Bible], on ne peut que conclure en disant que la seule circonstance atténuante que peut avoir Dieu est de ne pas exister, parce qu'un tel monstre, si vraiment il existait, ne pourrait être que condamné à mort.