PROVERBES - CITATIONS - DICTONS DE STONE

J'arrive au temps des échéances. J'ai dépensé ma vie qui n'est jamais qu'un prêt et qu'il faut rendre à la mort usurière.

Il n'y a pas de suicides, il n'y a que des meurtres.

Quand on défie la mort on ne gagne qu'en perdant définitivement.

Les hasards de notre vie nous ressemblent.

Le créateur, ce n'est pas parmi les personnages qu'on doit le chercher, ses secrets sont dans sa manière de créer.

L'énoncé d'un fait serait : celle que j'aime n'est pas avec moi, alors je me sens seul... Un seul être vous manque et tout est dépeuplé est l'art de dire immensément.

Les barricades n'ont que deux côtés.

On croit qu'on amène son chien pissé midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent deux fois par jour à la méditation.

En politique, nous passons le plus clair de notre temps à parler des absents, il arrive que leur présence n'y change pas grand-chose.

L'amour rend aveugle. L'amour doit rendre aveugle ! Il a sa propre lumière. Eblouissante.

Le chagrin creusé par ceux qui partent fait le nid de ceux qui arrivent dans le coeur de ceux qui espèrent.

Quand la vie ne tient qu'à un fil, c'est fou le prix du fil !

Ne jamais exagérer le mal qu'on peut faire aux autres. Leur laisser ce plaisir.

Les guerres sont comme les feux de broussailles, si on n'en prend pas garde, elles se mondialisent.

L'amour ne se prédit pas, il se construit.

Une des fonctions essentielles du conte est d'imposer une trêve au combat des hommes.

Ce que Dieu ne peut plus faire, une femme, parfois, le peut.

Ce sont rarement les réponses qui apportent la vérité, mais l'enchaînement des questions.

Les mots, comme les armes, partent parfois tout seul.