PROVERBES - CITATIONS - DICTONS DE CATALEYA

Lorsque l'on n'a rien, on a rien à perdre.

Pour que ce jour compte!

Le fort dévore le faible. Et tout le monde laisse faire.

C'est comme ça que ça marche! Lorsqu'un peuple est assit sur quelque chose que l'on convoite, on en fait un ennemi! Et ça justifie le pillage.

Les mots sont comme des pierres dans mon cœur.

J’étais un guerrier qui rêvait qu’il pouvait apporter la paix...

Une vie s'achève, une autre commence.

Le feu se propage! Et si nous brûlons, vous brûlerez avec nous!

Tu m'aimes, réel ou pas réel? Réel.

On n’oublie pas le visage de la personne qui a représenté votre dernier espoir.

Tu as à peu près autant de charme qu’une limace crevée !

L'espoir... C'est la seule chose, plus forte que la peur.

Je crois aux actes de courage ordinaire, au courage qui pousse une personne à prendre la défense d'une autre.

Quand j'étais petite, je me disais : "Voilà, tu es coincée derrière ce bureau. Tu vas grandir puis tu te retrouveras de nouveau coincée derrière un bureau." Ce n'est pas moi.

Je voudrai retourner aux vieux jours où lorsque le téléphone sonnait, je savais que c'était toi.

L'expiation est puissante : c'est le verrou sur la porte que l'on referme sur le passé.

J’aurais pu me battre pour toi, où que tu ailles je t’aurais suivit, quoi que tu dises j’aurais approuvé… Mais toi, qu’aurais-tu fait pour moi ?

Touche son cœur, pas son corps. Vole son attention, pas sa virginité. Fais la sourire, pas pleurer.

Tout d'abord, désolée mon cerveau de t'avoir forcé à penser à lui... Puis désolée mes lèvres, d'avoir souris à lui... Enfin, désolée mon pauvre cœur d'avoir battu pour lui...