PROVERBES - CITATIONS - DICTONS DE STONE

Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l'homme. Une femme intelligente y renonce.

Il y a deux sortes d'amour : l'amour insatisfait, qui vous rend odieux, et l'amour satisfait, qui vous rend idiot...

On n'écrit pas parce qu'on a quelque chose à dire mais parce qu'on a envie de dire quelque chose.

Celui qui vie avec son passé n'a pas d'avenir.

Je conseille à toutes les jeunes femmes de se marier avec un archéologue, car plus on vieillit, plus on a de chance de l'intéresser.

Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas.

Le vrai bonheur coûte peu ; s'il est cher, il n'est pas d'une bonne espèce.

Vivre est une maladie, dont le sommeil nous soulage toutes les seize heures ; c'est un palliatif : la mort est le remède.

On devient vulnérable quand on est amoureux.

En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout.

Je n'ai jamais eu qu'une seule ride et je suis assise dessus.

Les épines que j'ai recueillies viennent de l'arbre que j'ai planté.

Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a.

Cette urgence intérieure, comme une fleur, un festin. Cette chose qui me prend et qui rampe comme un serpent. Ce n’est pas la mort ; mais mourir résoudra son pouvoir. Un stylo désespéré m’échappe de la main. C’est dans une chambre minable qu’ils me découvriront, sans jamais savoir mon nom, ni mon propos, ni la valeur de mon évasion.

Il est rare qu'un homme soit lancé dans la bataille des idées sans vite devenir le comédien de ses premières sincérités.

Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes.

Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre.

Je me suis marié deux fois : deux catastrophes. Ma première femme est partie, la deuxième est restée.

Politesse : Forme la plus acceptable de l'hypocrisie.