CITATIONS MORT - PROVERBES MORT - DICTONS MORT

Le développement de l'être sur terre doit aussi déterminer la direction qu'il prend après la mort.

Il n'existe qu'une seule vie réelle, celle qui est consacrée à chercher Dieu, et une seule mort, qui est la mort de la mort. Après cela, il n'y a plus ni naissance ni mort.

La mort et, également, le sommeil, ou petite mort, sont une nécessité mortelle et libèrent temporairement l'homme non éclairé de l'entrave des sens. Comme la nature essentielle de l'homme est Esprit, il reçoit, dans le sommeil et la mort un rappel vivifiant de son caractère impersonnel.

Comme les matins, les demeures se succèdent. Mais la vraie mort n'advient pas.

Si l'âme n'était pas immortelle, la mort serait un guet-apens.

Qu'est-ce, en effet, que craindre la mort, citoyens, sinon se prétendre en possession d'un savoir que l'on n'a point ? En définitive, cela revient à prétendre savoir ce que l'on ne sait point. Car personne ne sait ce qu'est la mort, ni même si elle ne se trouve pas être pour l'homme le plus grand des biens, et pourtant les gens la craignent comme s'ils savaient parfaitement qu'il s'agit du plus grand des malheurs.

Ce que précisément on nomme mort, c'est une dé liaison et une séparation de l'âme d'avec le corps.

Le but de notre carrière, c'est la mort, c'est l'objet nécessaire de notre visée : si elle nous effraie, comme est-il possible d'aller un pas avant, sans fièvre ?

Il n'y a pas de naissance pour aucune des choses mortelles; il n'y a pas de fin par la mort funeste; il y a seulement mélange et dissociation des composants du mélange. Naissance n'est qu'un nom donné à ce fait par les hommes.

Familiarise-toi avec l'idée que la mort n'est rien pour nous, car tout bien et tout mal résident dans la sensation; or, la mort est la privation complète de cette dernière.

La mort n'est rien pour nous, car ce qui est dissous est privé de sensibilité, et ce qui est privé de sensibilité n'est rien pour nous.

Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d'horreur, la mort, n'est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n'est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc, la mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts, puisqu'elle n'a rien à faire avec les premiers, et que les seconds ne sont plus.

Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements relatifs aux choses; ainsi la mort n'est rien d'effrayant, car Socrate lui aussi l'aurait dans ce cas trouvée telle; mais que l'on juge la mort effrayante, voilà bien l'effrayant.

Le corps périt mais le Soi suprême sans fin et éternel qui vit au même titre en tous ne périt jamais. L'ignorant et le non réalisé appellent cela la mort.

La mort ne veut rien dire pour celui qui est fort spirituellement.

Pourquoi donc être dépaysés par la mort, alors qu'il a été démontré que la vie charnelle est préparation continuelle et exercice de la mort ? Et si l'on parle du sommeil et de la veille, c'est une autre forme d'union de la mort et de la vie dont on parle : les sens s'éteignent quand on dort et, à l'inverse, le réveil accomplit pour nous en lui-même la résurrection espérée.

Familiarise-toi avec l’idée que la mort n’est rien pour nous, puisque tout bien et tout mal résident dans la sensation, et que la mort est l’éradication de nos sensations. Dès lors, la juste prise de conscience que la mort ne nous est rien autorise à jouir du caractère mortel de la vie : non pas en lui conférant une durée infinie, mais en l’amputant du désir d’immortalité.

Quand nous sommes, la mort n’est pas là, et quand la mort est là, c’est nous qui ne sommes pas !

Il y a trois causes de mort : l'ignorance, l’amour déréglé pour le bien-être, l’incapacité de supporter l’infini.

Les morts, en vérité, sont heureux. Ils se sont débarrassés de leur encombrante carapace: leur corps. Les morts ne pleurent pas, ce sont les survivants qui pleurent les morts. Est-ce que les hommes ont peur de dormir ? Bien au contraire, le sommeil est recherché et, à son réveil, chacun dit qu'il a bien dormi. On prépare soigneusement son lit pour bien dormir. Or le sommeil est une mort temporaire; la mort est un sommeil prolongé. Puisque l'homme meurt ainsi tandis qu'il vit, il n'a pas besoin de pleurer le décès d'autrui. Notre existence est évidente, avec ou sans corps physique, dans l'état de veille, le rêve ou le sommeil sans rêve. Alors pourquoi vouloir rester enchaîné dans le corps. Que l'homme trouve son Atman, son Soi immortel. Alors il pourra mourir, devenir immortel et heureux.

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