LE TOP DES PROVERBES ET CITATIONS

Tu es belle comme une sirène.... mi-femme, mi-thon

Dans toutes les larmes s'attarde un espoir.

La politique et l'église, c'est la même chose. Elles maintiennent les gens dans l'ignorance. Ces prêtres sont des imposteurs. La seule bonne chose qu'ils vous annoncent, c'est la mort. Parce que, après tant de souffrances, tout ce qu'ils ont à proposer, c'est de mourir et d'aller au paradis.

Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer.

J'ai été fiancée à la tristesse, mariée à la solitude et même divorcée du bonheur... Mais Dieu merci, aujourd'hui je suis veuve du pire.

Parfois je me demande qui je suis pour toi ? La fille avec qui tu rigoles quand t'as rien d'autre à faire ? Celle dont t'aimes te moquer gentiment ? Celle qui viens toujours te parler et dont tu n'oses pas lui dire qu'elle est pénible ? Peut-être tout à la fois... et pourtant, il m'arrive de me dire que tu dois bien m'aimer. Mais peut-être n'est-ce qu'un rêve, une illusion. Dans ce cas tu joues bien ton jeu. En l'espace d'un instant, j'ai réussie à croire que je comptais à tes yeux...

Si tu n'es pas là quand je pleure, t'as pas besoin d'être là quand je souris.

L'amour rend fou. Il n'y a que la guerre qui Rambo.

S'accrocher à la vie n'est que repousser le jour de sa mort.

Jouer avec la morale, ça rend aveugle.

La drogue n’est nécessaire que pour tuer sa propre vie.

L’amour envers les autres est une générosité acquise, accepté par le cœur. L'amour de soi est inné, instinct, et n'a pas quelconque valeur sociale.

On a tous besoin de croire en quelque chose, moi je crois que je vais me servir un autre ricard !

Femmes du monde vous êtes toutes magnifiques je vous adore. La mienne encore plus !

Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier.

À force de compter les moutons, je comprends pourquoi ils exercent une politique d'endormis.

Si j'étais né avant mon père, j'aurais pu être le sien.

Si tu veux être vrai avec les autres, commence par ne pas tricher avec toi-même.

Nous parlons de tuer le temps, comme si hélas ! ce n'était pas lui qui nous tuait !

Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !