CITATION NICOLE BOLTEAU

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Et si la Porsche n’était que le cadeau bien mérité de nos meilleurs leaders ?! N’est-elle pas après tout le trophée préféré des dealers les meilleurs… !

Gérer la misère, c’est la faire exister en tant que misère. La faire durer en tant que misère, l’installer durablement en tant que misère. Gérer la misère c’est vouloir que la misère existe. Mais comment se confronter à la misère, la regarder bien en face, puis lui trouver -non pas un substitut et encore moins son contraire : la richesse-, mais la voie du dégagement ?! Celle où l’Etre s’arrache à cette misère, précisément parce qu’il ne s’y trouve pas. L’Etre n’est jamais où se trouve la misère. L’Etre est ce que cache la misère, ce qu’elle voile, ce qu’elle voudrait occulter pour l’en priver.

La maladie du Gestionnaire. La gestionnelose est à la vie créatrice, ce que la légionellose est aux concentrations urbaines : des micro-organismes se servant des plus belles conquêtes technologiques de l’esprit humain pour redistribuer sa valeur ajoutée sous la forme d’un nuage anonyme et violemment contagieux. Heureusement que le gestionnaire n’est pas comme le légionnaire, ce propagateur inconscient de la 1ère légionellose. Le gestionnaire est responsable de la gestionnelose qu’il produit, puisque c’est précisément de la produire qui lui fait un métier. D’où la légende faisant des Gestionnaires et de tous les hauts-responsables, des personnes toujours responsables, mais jamais coupables des maux qu’ils… gèrent.

Le Ciel est tombé sur la terre, tête la première. Il est plongé depuis, dans un coma prolongé.

Les « autistes de haut-niveau » sont aux normes ultra libérales et au monde de la Performance ce que sont les « enfants indigo » au monde de la para psychologie. Les autistes de haut-niveau bénéficiant du label de la scientificité. Derniers chouchous des enfants de Darwin, qui après avoir réduit l’Humain au Singe qu’il contient, n’a plus qu’à sélectionner ses meilleurs « singes-savants ».

Quand les social killers… font de l’assistanat le « cancer de la société », c’est la balle tirée par leurs silencieux que les plus pauvres entendent siffler : « tu meurs » « tu meurs » « tu meurs » ! Les meilleurs tueurs en cols blancs doivent mériter leurs gages, et savoir protéger leurs gains. Les « minimas sociaux » sont de vraies métastases, et les maximas de véritables extases. Les réussites décomplexées valent bien les balles tirées dans la masse des plus pauvres par des cols blancs aisés. Par les fortunes qu’ils amassent comme s’ils devaient vivre deux mille ans, les plus riches ne sont-ils pas des… Immortels?! Comme les cellules cancéreuses qui ne "savent plus" mourir et prolifèrent pour le seul plaisir de durer. Et pour la plus grande souffrance du corps social qui les endure. Pendant que l'accès au juste nécessaire est criminalisé pour les plus pauvres!

Le ver solitaire est au peuple des vers ce que le Lion est au règne animal tout entier : « le roi des animaux ». Pourquoi la France est—elle devenue ce grand corps malade et affaibli ? Parce qu’elle répond à des besoins qui ne sont pas les siens. Dans l’hyper-inflation du moi qui caractérise le… ver solitaire, cette super-puissance vibrionnante qui habite son organisme, la pousse à « travailler toujours plus… » pour survivre avec toujours moins. Plus elle se dépense, plus elle s’appauvrit. Plus elle cherche à se nourrir, plus son corps se vide. Et si la sarkose était une forme de nécrose en nos âmes ?! Des forces de mort déguisées, qui n’ont « d’énergétiques » que pour les intérêts qu’elles servent.

Apartheid : où pour voir la vie en rose, il faut broyer du noir.

Qu’est-ce qu’un Bobo… ? Un bourgeois-bourgeois ; c’est à dire un bourgeois au carré, un bourgeois deux fois bourgeois, pour non seulement avoir les moyens de ce dont il prétend se passer, mais avoir réussi à en augmenter le prix pour tous les vrais bohèmes et autres va-nu-pieds. Le bourgeois-bohème n’est jamais bohème. Bon producteur de tous les accessoires de la Modernité triomphante, il s’affiche en contestataire de ce à quoi il participe. Tout en jouissant des retombées financières et autres rentes professionnelles que ce qu’il exècre produit, le Bobo soigne ses bobos de conscience. Il est la métaphore paresseuse et ridicule, donc mo-der-ne, de la bonne vieille figure bourgeoise. Du bourgeois avide qui tourne… à vide! Surtout quand il fait du vide de la frugalité un avoir !

Dieu souffre d’une maladie orpheline : l’humanité. Qu’attend donc le Ciel pour lancer un Théothon afin de collecter des dons… au moins sous forme de promesses, comme d’hab’?!

Séduire les requins est une question de survie... économique. C'est bien une idée de blonde. Sur laquelle prospèrent tous ces nouveaux métiers de la "performance séductrice". Des coachs vous entraînent en stages intensifs pour mieux vous précipiter au milieu des bans de requins, dans une danse du ventre enthousiaste et... désespérée.

Nuit blanche, où trop d'obscurité... nuit !

Je me suis si bien dépassée, que je me suis perdue de vue.

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DERNIERES CITATIONS

« Dans la vie on a trois amours, le premier est notre amour d'enfance, le deuxième est l'amour qui nous donne des enfants, et le troisième est l'amour avec qui on fini sa vie. »

Stone

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« Les vrais chefs doivent savoir obéir. »

Stone

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« Le jeune marche vite, mais l'ancien connaît la route. »

Proverbe Africain

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« Aimer et chérir ses géniteurs lorsqu'ils sont en vie, c'est comme porter la cime de la couronne de bénédictions sur sa tête. Ma pensée tend à mettre en avant l'importance des liens familiaux et de l'hommage rendu, tant en vie qu'après la mort. Sans détour, c'est ThérapeuEthique! »

Jah OLELA Wembo

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« On tombe par accident, On se relève par intelligence ! »

Jah OLELA Wembo

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