L'apaisement réside en chacun de nous.
C'est en parvenant à nos fins par l'effort, en étant prêt à faire le sacrifice de profits immédiats en faveur du bien-être d'autrui à long terme, que nous parviendrons au bonheur caractérisé par la paix et le contentement authentique.
On s'intéresse à ses membres comme parties de son corps, pourquoi pas aux hommes comme parties de l'humanité ?
La sensation d'être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l'absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons.
Il n'importe guère qu'un être soit croyant ou non : il est beaucoup plus important qu'il soit bon.
Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous.
Il n'y a personne qui soit née sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
Folie toute l'intelligence sans la conscience profonde de la mort et de l'impertinence.
Ce qui est dur et fort va vers la mort. Ce qui est doux et faible va vers la vie.
Fuis les honneurs et l'honneur te suivra ; convoite la mort et la vie te sera donnée.
Pour l'homme qui pense, la mort n'est pas une fin mais un commencement.
Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort !
Celui qui ne peut plus éprouver ni étonnement ni surprise est pour ainsi dire mort; ses yeux sont éteints.
Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.
Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé, alors seulement nous serons heureux. Alors seulement nous pourrons vivre en paix, car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.
Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous serons demain ?
Beaucoup sont les personnes qui disent ne plus me reconnaître… M’avez-vous déjà connu ?
Le sens ultime de la vie humaine n'est pas avoir, mais être.
Quand on est jeune et sensible, l'indifférence est dure à vivre.
Certains en ont assez de faire et de voir les mêmes choses ; les gagne non la haine de la vie mais son ennui, pente où nous glissons, poussés par la philosophie elle-même, en disant : "Jusques à quand les mêmes choses ? Ne vais-je pas me réveiller, dormir, manger, avoir faim, avoir froid, avoir chaud ? Rien n'a de fin, toutes choses s'enchaînent en cercle, fuient et se suivent ; la nuit chasse le jour, le jour la nuit, l'été fait place à l'automne, l'hiver presse l'automne, serré de près par le printemps ; toutes choses passent ainsi pour revenir. Je ne fais rien de nouveau, je ne ois rien de nouveau : on en a parfois jusqu'à la nausée." Nombreux sont-ils pour juger que vivre n'est pas atroce, mais superflu.
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