PROVERBES - CITATIONS - DICTONS DE STONE

Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier.

Si mon coeur est étroit, à quoi me sert que le monde soit si vaste.

Le feu prit un jour dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l'on applaudit ; il répéta, les applaudissements redoublèrent. C'est ainsi, je pense, que le monde périra dans l’allégresse générale des gens spirituels persuadés qu’il s’agit d’une plaisanterie.

Ceux qui ne bougent pas ne sentent par leurs chaînes.

Vous voulez savoir comment il faut donner ? Mettez-vous à la place de celui qui reçoit.

La société est fondée sur un avantage mutuel : mais, lorsqu'elle me devient onéreuse, qui m'empêche d'y renoncer ?

Personne n'accepte un verre lorsque c'est un urologue qui le sert.

Mourir est tout au plus l'antonyme de naître, L'antonyme de vivre reste à trouver.

On n'emporte en mourant que ce qu'on a donné.

Nos émotions sont dans nos mots comme des oiseaux empaillés.

Peu m'importe de vivre dans un monde d'hommes tant que je peux y être femme.

Tantôt l'Amour réunit tout en un ; et tantôt la Haine divise tout en deux.

C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume.

La joie est en tout, il suffit de savoir l'extraire.

Je cherche les petites notes qui s'aiment.

Ne vous plaignez pas de vieillir, tout le monde n'a pas ce privilège.

Selon mon cour de biologie, l'érection est occasionnée par un afflux sanguin venant du cœur vers le pénis. Les filles, puisqu'on vous dit que ça vient du cœur il faut nous croire !

Le masque est si charmant que j'ai peur du visage.

Je n'ai rien d'autre à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur.