CITATIONS SUR LES FEMMES

Ma femme et moi sommes retournés dans l'hôtel où nous avons passé notre nuit de noces. Seulement cette fois, c'est moi qui me suis enfermé dans la salle de bain et qui ai pleuré.

J'emmène ma femme partout mais elle retrouve toujours son chemin, hélas...

Le seul qui puisse avoir le dernier mot avec une femme, c'est l'écho.

Peu importe qu'elle soit vraiment jolie à regarder. Quelque part, il y a probablement un autre type qui en a marre d'avoir à la supporter.

Ne soyez pas méchants avec les femmes. La nature s'en charge au fur et à mesure que le temps passe.

Un terrible malheur vient de frapper mon meilleur ami : il est parti avec ma femme.

Avant, tout était simple. Lui Tarzan, il chassait. Elle, Jane, elle cueillait. Lui, Tarzan, il savait. Elle, Jane, elle admirait et fermait sa gueule, même si elle savait aussi.

Autrefois, quand une jeune fille était gênée, elle rougissait. Aujourd'hui, quand une jeune fille rougit, elle est gênée.

La femme est l'addition des ennuis, la soustraction du porte-monnaie, la multiplication des ennemis et la division des hommes.

Je n'aime pas les femmes qui couchent le premier soir. Je déteste ça, il faut attendre tout l'après-midi.

Avec les femmes, c’est toujours la même chose ; d’abord au bras, puis dans les bras, puis sur les bras. Avec elles, on va à chaque fois des petits mots aux grands mots et enfin, aux gros mots.

Les femmes ne peuvent comprendre qu'il y ait des hommes désintéressés à leur égard.

Le plus beau compliment que je puisse faire à une femme est de lui dire : «Je suis aussi bien avec toi que si j'étais tout seul.

Coucher avec un vieux, quelle horreur... Mais avec un jeune, quel travail !

Il n'y a que dans ces courts instants où la femme ne pense plus du tout à ce qu'elle dit qu'on peut-être sûr qu'elle dit vraiment ce qu'elle pense.

Si tu étais plus belle, je me serais déjà lassé... Tandis que là... ! je ne m'y suis pas encore habitué !

Une dame disait un jour devant moi, d'elle-même, comme la chose la plus naturelle du monde : «Je ne pense jamais, cela me fatigue ; ou, si je pense, je ne pense à rien.»

La femme est meilleure qu'on le dit : elle ne blague les larmes des hommes que si elle les a elle-même fait couler.

Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l'homme. Une femme intelligente y renonce.

Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas.