CITATIONS TOUJOURS - PROVERBES TOUJOURS - DICTONS TOUJOURS

Quand on est une merde, autant le prendre avec dérision car il est toujours mieux de faire subsister un doute.

Quelle que soit la nouvelle qu'ils apportent, lorsque les envoyés de Dieu nous frappent sur l'épaule, ils font toujours cette bonne oeuvre de nous réveiller de la vie, et là où ils parlent tout se tait.

[Il est des] douleurs sans larmes, qui ne deviennent jamais douces, et dont le souvenir conserve toujours son amertume et son horreur, car la mort nous frappe autre part que l'amour.

L'amour fait toujours croire ce dont on devrait douter le plus.

L'orgueil est la même chose que l'humilité : toujours le mensonge.

Il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte : notre mort ou la sienne.

Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise nos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous!

Les jets d'eau que je regarde retombent toujours.

On affaiblit toujours tout ce qu'on exagère.

Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.

La fortune des hommes est une roue et ne laisse pas toujours les mêmes au sommet

On m'a toujours interdit de copier, et maintenant on me demande d'être comme tout le monde.

J'ai toujours été solide comme la pierre pour eux, sauf depuis qu'ils savent que tu es ma plus grande faiblesse.

A terre, même dans les moments les plus sombres, la vie recommence toujours le lendemain. En mer, lors d'une tempête, on éprouve un sentiment de piège pour l'éternité.

Le génie et la folie ont parfois des limites mais la connerie est toujours sans bornes.

La malveillance trouve toujours de mauvais motifs aux bonnes actions.

Il faut être toujours prêt à faire la guerre, pour n'être jamais réduit au malheur de la faire.

Le cerveau des enfants est comme une bougie allumée dans un lieu exposé au vent : sa lumière vacille toujours.

Toutes les guerres sont civiles, car c'est toujours l'homme contre l'homme qui répand son propre sang.

Un peuple vaincu se dit toujours trahi.