PROVERBES - CITATIONS - DICTONS DE STONE

Comme le dit souvent ma copine cocaïnomane : tire un trait, tu y verras plus clair.

Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps et tout le monde quelques fois, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.

Le coeur ne vieillit pas, mais il est pénible de loger un dieu dans des ruines.

Son coeur est déjà pris... contentons-nous du reste !

La vie, ce n'est pas avoir et obtenir, mais être et devenir.

Qui a une tête de beurre ne doit pas s'approcher du four.

Je tiens pour principes certains du bonheur qu'il faut préférer les avantages de la nature à tous ceux de la fortune.

La Saint Valentin est une fête qui a été inventée par les femmes pour que leur mari dépensent l’argent qu’ils ont durement gagné en achetant des bouquets de fleurs vendus deux fois plus cher que les autres jours de l’année.

Une détresse trop grande peut conduire au suicide, même si il n'est au fond réellement qu'un appel au secours entendu trop tard.

L'Homme ne descend pas du singe, il descend plutôt du mouton.

Les sons que rendent les passions dans le vide d'un coeur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert ; on en jouit, mais on ne peut les peindre.

Il n'y a point de vielle femme. Toute, à tout âge, si elle aime et si elle est bonne, donne à l'homme le moment de l'infini.

Belle, sans ornement, dans le plus simple appareil, d'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.

Depuis l'temps que j'te rêve, depuis l'temps que j't'invente, Ne pas te voir j'en crève, j'te sens dans mon ventre. Le jour où tu t'ramènes, j'arrête de boire promis, Au moins touteun'semaine, ce s'ra dur, mais tant pis.

Être franc et sincère est mon plus grand talent ; je ne sais point jouer les hommes en parlant.

Les blessures de la langue sont plus dangereuses que celles du sabre.

Il y aura toujours des guerres entre les hommes, parce qu'ils sont ambitieux, que l’intérêt les gouverne, et que d'ailleurs le zèle de la religion, les rends cruels.

La guerre est quelquefois nécessaire, il est vrai ; mais c'est la honte du genre humain qu'elle soit inévitable en certaines occasions.

Je sais que sur les vœux on n'a point de puissance, que l'amour veut partout naître sans dépendance, que jamais par la force on n'entra dans un coeur, et que toute âme est libre à nommer son vainqueur.